Incandescences
Au Théâtre de Vénissieux
Madani compagnie | paris
Dans le sillage d’Illumination(s) et de F(l)ammes, Incandescences, dernier chapitre de la trilogie Face à leur destin, met en scène des jeunes gens nés de parents ayant vécu l’exil et résidant dans des quartiers populaires. Une nouvelle aventure pour faire entendre la voix d’une jeunesse rarement écoutée, poussée par un vent de liberté, de joie et d’espérance.
Une centaine de filles et de garçons a accepté de rencontrer Ahmed Madani et de lui raconter leurs vies, leurs questionnements. Neuf d’entre elles·eux portent sur la scène les récits trop souvent passés sous silence de vies ordinaires au caractère extraordinaire. Il·elle·s n’ont pas froid aux yeux, s’emparent du plateau pour dire ce qui les unit, les sépare, les fragilise, leur donne la force de se tenir debout et d’avancer, de se sentir vivant·e·s. Il·elle·s s’adressent à nous avec éloquence, fierté, drôlerie, élégance. Un récit universel, joué, dansé, chanté, expression de l'immense joie d'amour qui a engendré notre humanité.
Distribution
Texte et mise en scène : Ahmed Madani
Assistant à la mise en scène : Issam Rachyq-Ahrad
Avec : Aboubacar Camara, Ibrahima Diop, Virgil Leclaire, Marie Ntotcho, Julie Plaisir, Philippe Quy, Merbouha Rahmani, Jean-Baptiste Saunier, Izabela Zak
Création vidéo : Nicolas Clauss
Création sonore : Christophe Séchet
Regard extérieur chorégraphique : Salia Sanou assisté de Jérôme Kaboré
Création lumières et régie générale : Damien Klein
Régie son : Jérémy Gravier
Costumes : Ahmed Madani et Pascale Barré
Coach chant : Dominique Magloire
Administratrice : Pauline Dagron
Chargée de diffusion et de développement : Rachel Barrier
Production
Production: Madani Compagnie
Coproduction : Grand T à Nantes, MC93 à Bobigny, Fontenay-en-Scènes, Théâtre Brétigny, Atelier à Spectacle à Vernouillet, Scène Nationale de l’Essonne - Agora-Desnos, Maison de la Culture d’Amiens, Comédie de Picardie, Vivat d’Armentières, Théâtre Les Passerelles à Pontault-Combault, Azimut à Antony/Châtenay-Malabry.
Crédit photo
François-Louis Athénas